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mercredi 24 juin 2009

AFGHANISTAN ET MEURTRES D'HONNEUR CONTRE LEURS FEMMES

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Le plus gros site informatif (7500 sujets inédits) . Cliquez sur les lettres et les chiffres :
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Les Musulmans SS d'Hitler
Le Mufti continua sa guerre anti-sémite même après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Puis c'est son neveu YASSER ARAFAT qui pris sa relève anti-Juifs.

Avant l'arrivée des Britanniques, les Afghans vivaient en paix et avaient des cultures fruitières, mais Londres a remplacé cs vergers par des CHAMPS DE PAVOT (OPIUM)

Afghanistan : Taux De Mortalité Infantile La Plus Elevée Au Monde- Merci Aux Troupes D'Occupation US/OTAN !

LES MUSULMANS NE MANGENT PAS DU PORC MAIS ILS AGISSENT EN COCHONS ENVERS L'HUMANITÉ EN CULTIVANT LES DROGUES POUR EN DROGUER NOS ENFANTS...... ILS SONT MÉPRISANTS ET ILS AGISSENT CONTRE DIEU

LES COMPLICES DE LONDRES :

LA DROITE MUSULMANE

LA DROITE CHRÉTIENNE

LA DROITE JUDAIVE


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SOLUTIONS

Au lieu de cultiver l'Opium, CULTIVEZ DONC DES ORANGERS ... des VERGERS PARTOUT..... En Afghanistan, autrefois il y avait des Orangers, les gens y vivaient pacifiquement, mais tout a changé lorsque la géopolitique de Londres a décidé d'utiliser ces Pays pour son Commerce International des drogues et comme champs de pratiques pour les militaires volontaires qui veulent plus que de la théorie guerrière.


Actualité criminologie


185 « meurtres d’honneur » depuis début 2006 en Afghanistan
Asie > meurtre, maltraitance, statistique
Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 28 septembre 2006

" La commission indépendante afghane des droits de l'Homme (AIHRC) affirme que les « meurtres d’honneur » sont en progression en Afghanistan, où ils ont tendance à se banaliser.

L’AIHCR a recensé 185 meurtres d’honneur depuis le début de l’année. La commission reconnaît qu’elle n’a connaissance que d’une partie des cas, les zones rurales échappant à son champ d’investigation.

Les « meurtres d’honneur » sont des assassinats de femmes ou de jeunes filles accusées d’avoir déshonoré le nom de leur famille. Ils sont généralement perpétrés par un membre masculin de la famille ou, parfois, par un mineur que l’âge met à l’abri de poursuites. Il peut également faire l’objet d’un contrat qui sera exécuté par un tueur à gages.

Plusieurs facteurs contribuent à la généralisation des « meurtres d’honneur », estime l’ AIHRC. Tout d’abord, la commission met en avant la faiblesse du système judiciaire afghan qui, malgré l’aide apportée par l’Italie, peine à se remettre sur pied après trente années de conflits. De pair, la déliquescence des forces de police est de nature à créer un sentiment d’impunité.

« Il est regrettable que les forces de police en Afghanistan n’arrêtent pas les assassins ou ne les considèrent pas comme des assassins », déplore Rahmatôllah Weda, membre de l’AIHRC. Le ministère de l’Intérieur a créé une commission spéciale afin de prendre la mesure du problème. Mais, « triompher de ces crimes va prendre beaucoup de temps car ils font partie de la culture d’un grand nombre de personnes », souligne Dad Mohammad Rasa, porte-parole du ministère.

Mais, la commission considère que les pratiques discriminatoires généralisées dont sont victimes les Afghanes constituent le socle de l’accroissement de cette tendance. « Malheureusement, cela est totalement imbriqué dans la culture afghane, particulièrement dans les zones rurales », constate Soraya Sobrang, président de l’AIHCR.

Les victimes de « meurtres d’honneur » sont généralement des femmes ou des jeunes filles qui refusent un mariage arrangé ou dont les familles désapprouvent les relations. Selon le rapport de l’AIHRC publié en 2005, 38% des mariages sont arrangés contre la volonté de l'épouse et 57% des femmes sont mariées avant l'âge légal de 16 ans.

Face à la pression familiale, peu d’alternatives se présentent. Certaines préfèrent mettre un terme à leur existence. En 2005, l’AIHRC a enregistré 380 tentatives de suicide par immolation, dont 69 ont entraîné la mort. Pour l’année 2006, ce chiffre est de 50.

Les structures d’accueil et de protection étant quasi inexistantes, beaucoup de femmes se résignent à leur sort. D’autres choisissent la fuite. Originaire de la province de Paktia, au sud-est du pays, Bibi (son nom a été modifié) a fui le domicile de ses parents en juin dernier. Âgée de 15 ans, elle devait épouser un vieil homme qui lui a été promis alors qu’elle n’avait que six mois. Elle vit aujourd’hui à Kaboul cachée par des amis. « Mon mari me traitait comme un animal, pas comme un être humain en me battant et en me torturant quotidiennement et en m’enferment à la maison », raconte-t-elle. « Je sais qu’il est à ma recherche pour me tuer car il pense que je l’ai déshonoré, mais Dieu sait que c’est lui le coupable », dit-elle."


Source : BASSIRAT.NET (27 septembre 2006)

Actualité criminologie


4 554 enfants algériens violés en 2004
Afrique > viol, pédophilie, statistique
Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 21 avril 2005

" Le constat est alarmant et les chiffres le sont encore plus. L’enfance algérienne est entièrement à l’abandon.

La journée d’étude organisée, hier, à l’Ecole supérieure de la magistrature, portant sur « l’activité des juges pour mineurs et la prise en charge des enfants en infraction et en danger mental », a été l’occasion pour lever le voile sur la souffrance de cette frange fragile de la société.

Mme Kheira Messaouda, chargée de l’enfance au niveau de la police judiciaire, a révélé des chiffres inédits sur le drame quotidien que subissent des centaines d’enfants à travers l’Algérie. 4 554 enfants, dont l’âge ne dépassait pas 16 ans, ont subi en 2004 des agressions sexuelles.

2 603 gamins ont été victimes de violences physiques dans leur environnement extérieur ou familial. 20 parmi eux ont été assassinés après avoir subi des sévices sexuels. 53 mineurs ont, par ailleurs, été victimes d’inceste commis par des membres de leur famille.

133 bambins ont été kidnappés durant la même période. Inquiétants, ces chiffres ne représentent malheureusement pas la situation réelle de l’enfance en Algérie. Car cette réalité peut laisser penser au double ou au triple du chiffre de ces statistiques.

« Ce sont uniquement des chiffres enregistrés au niveau de la police judiciaire ; alors, imaginez toutes ces personnes qui n’osent pas, pour une raison ou pour une autre, dénoncer leurs agresseurs », a souligné, hier, Mme Kheira Messaouda, lors de son intervention devant les juges pour mineurs.

La sonnette d’alarme, selon elle, doit être tirée pour mettre fin à tous ces fléaux sociaux qui montent en flèche, transformant l’innocence de l’enfant en un cauchemar épouvantable. Livrés au monde cruel des adultes et de leurs obsessions maladives, les enfants sont doublement victimes.

Victimes de leurs agresseurs et victimes de leur environnement qui ne se rend pas compte de toutes ces souffrances. Sans aucune prise en charge ni suivi psychologique, les victimes réagissent chacune à sa façon. Si certaines se referment sur leur personne et s’égarent au milieu de la société, d’autres développent des réactions agressives et délinquantes pour se protéger des adultes.

Les chiffres, dans ce sens, sont aussi effrayants. En 2004, les services de police ont enregistré 9 964 infractions commises par des mineurs, dont 3 586 actes commis par des enfants dont l’âge se situe entre 13 et 16 ans. Les juges pour mineurs statuant sur ces affaires ont noté que 1 251 mineurs ont été mis en détention provisoire, 7 671 mis en liberté provisoire et 733 enfants ont été orientés vers des établissements spécialisés.

Selon des spécialistes, l’augmentation du nombre des infractions est due à plusieurs facteurs économiques et sociaux. Mme Hassiba Houassa, responsable au cabinet du ministère de la Famille et de la Condition féminine, a souligné que le phénomène du terrorisme a contribué d’une manière considérable à l’apparition de la délinquance chez les enfants.

La cellule familiale est, constate-t-elle, déchirée et les enfants n’ont plus de repères socioculturels. « Les enfants sont sans espoir et leur prise en charge dans le cadre d’une nouvelle stratégie de protection et d’éducation est plus que jamais nécessaire », a-t-elle ajouté.

L’oratrice a, par ailleurs, soulevé le manque de structures spécialisées réservées à l’accueil et à la prise en charge des enfants victimes ou délinquants et qui affrontent les dangers de la rue et de l’agressivité de la société. « Il n’est pas normal que la capitale qui enregistre le chiffre le plus alarmant en matière de délinquance ne dispose pas d’établissement spécialisé », signale-t-on également.

Rappelons que les trois centres de rééducation et de réinsertion des délinquants dans leur environnement sont implantés à Médéa, Dellys et Chlef. Eloignés des grandes villes qui enregistrent une montée vertigineuse en matière de violences et d’agressions, ces centres sont peu fréquentés et négligés du point de vue de la prise en charge des mineurs qu’on y oriente."


Source : ALGERIE-DZ.COM (20 avril 2005


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